SAINT LOUIS :

Saint-Louis est une ville située sur la côte nord-ouest du Sénégal. Elle est connue pour son architecture coloniale. La vieille ville se trouve sur l’île N’Dar du fleuve Sénégal. L’île est reliée au continent par le pont Faidherbe de 1865, conçu par Gustave Eiffel. La place Faidherbe possède des monuments anciens bien conservés, dont le palais du gouverneur et la cathédrale néoclassique. Le musée du CRDS est consacré à l’artisanat et à l’art traditionnel.

PARC NATIONAL DE DJOUDJ

Le parc national des oiseaux du Djoudj est situé à une soixantaine de kilomètres au nord de Saint-Louis du Sénégal. Paradis des oiseaux migrateurs, le parc est la troisième réserve ornithologique du monde. On y trouve de différent éspéce :

Le nombre d’oiseaux migrateurs est estimé à quelque trois millions, répartis en 350 espèces, en particulier le flamant rose, le pélican blanc (Pelecanus onocrotalus), quatre espèces d’aigrettes, l’oie de Gambie et le héron cendré. Les canards sont nombreux (souchets, pilets, sarcelles, etc.). On peut aussi observer de grands cormorans, des martins-pêcheurs ou des balbuzards.

Varans et pythons se dissimulent parfois dans les herbes, ainsi que de petits crocodiles. En ce qui concerne les mammifères, il s’agit surtout de vaches, de singes rouges (patas) et de phacochères, mais hyènes, chats de Libye, servals et gazelles dorcas vivent aussi dans le parc.

PARC NATIONAL DE LA LANGUE DE BARBARE

Le Parc national de la Langue de Barbarie est l’un des six parcs nationaux du Sénégal. Il est situé à une vingtaine de kilomètres au sud de Saint-Louis du Sénégal vers l’embouchure du fleuve Sénégal.

On y trouve particuliairement les maimes éspeces que Djoudj.

 

TOUR DE CALECHE :

Une fois le pont Faidherbe passé, nous arrivons sur l’île de Ndar et la visite commence dans le quartier Nord (Lodo) avec des restes du temps colonial. C’est dans ce quartier que les négociants bordelais et marseillais se sont établis dans la première moitié du XIXe siècle. En prolongeant le quai Roume, nous passons devant la Grande Mosquée. Selon la légende, Cheikh Omar Tall, grand héros de la lutte anti-colonialiste décida de son emplacement et l’orienta vers la Mecque. L’horloge qui orne l’une de ses deux tours actionnait auparavant une cloche (comme une église). Au bout du quai, nous arrivons devant une grue. La grue à vapeur utilisée de 188à à 1954 symbolise l’activité portuaire d’antan…

des guerres. Certaines familles durent fuir, l’une d’elles arriva à Mbour et se fixa à l’emplacement actuel de la préfecture de la ville.

Deux versions se disputent l’origine du nom de la ville. La première évoque l’expression sérère « A Mbouara Adett» qui signifie littéralement : « Ils ont quitté et ils sont partis »