DAKAR :
Dakar est la capitale du Sénégal, en Afrique occidentale. Cette ville portuaire sur l’océan Atlantique se trouve sur la presqu’île du Cap-Vert. Son quartier traditionnel, la Médina, accueille la Grande Mosquée, qui se distingue par son imposant minaret. Le musée Théodore-Monot expose des objets culturels comme des vêtements, des percussions, des sculptures et des outils. La vie nocturne animée de la ville trouve son inspiration dans la musique locale, le mbalax.
Pour mieux connaitre la capital on propose une excursion du tour de ville telle que :
PHARE DES MAMELLE S:
Le phare des Mamelles est un phare situé sur la presqu’île du Cap-Vert, à environ 4 km au sud-est de la pointe des Almadies — l’extrémité occidentale du continent africain — dans la ville de Dakar, sur la plus occidentale et la plus grande des deux collines volcaniques coniques nommées les Mamelles.
Depuis un an un restaurateur a ouvert en haut du phare des mamelles, sur une vaste terrasse, un très bel endroit, avec navette gratuite pour y monter (les taxis vous déposent obligatoirement au départ des navettes) .
super ambiance, vue imprenable de la presqu’île du Cap-Vert
– les sportifs peuvent grimper plus d’une centaine de marches
NGOR :
Elle constitue un promontoire qui prolonge la tête de la presqu’île du Cap Vert dans l’océan Atlantique. Considérée comme la partie la plus occidentale de l’Afrique, elle couvre une superficie de 4,5 Km2 et présente la particularité d’être située sur un site balnéaire. Les principales limites géographiques de la commune d’arrondissement de Ngor sont ainsi la commune d’arrondissement de YOFF au Nord-Est ; la commune d’arrondissement de OUAKAM au Sud-Est et l’océan Atlantique qui la borne du nord-ouest au sud-ouest. L’île de Ngor fait face au village, à 400 m à peine. Sur la côte, les localités les plus proches sont Gata, Diayane, Warar, Terme Sud, Tonghor, Ndiongarane et Taklou.
PALAIS PRESIDENTIEL :
L’ancien palais des gouverneurs français est maintenant le palais présidentiel, il s’agit d’un superbe bâtiment extrêmement bien conservé. Malheureusement on ne visite pas, on ne s’approche pas, on ne photographie. On peut juste passer devant et en profiter pour admirer aussi le garde d’honneur dans son bel uniforme rouge.
MOSQUEE DE LA DIVINITE :
Tout le monde sait qu’à chaque guide, Allah (swt) lui a accordé un lieu de recueillement où il puisse faire ses prières sans encombrement. Celle de Mohamed Seyni est cette mosquée appelée Masdjidou Rabaani (Mosquée de la Divinité). Cette mosquée se trouve à Ouakam, village lébou à l’extrémité de dakar. Elle a été construite sous la recommandation d’Allah (swt) par l’intermédiaire de Mohamed Seyni qui en a reçu les descriptions. Cela est survenue dans la nuit du jeudi 28 au vendredi 29 juin 19731(ce qui fit d’elle un djouma) quand Mohamed Seyni vit la mosquée dans le ciel. Il reçut l’ordre de la regarder et de la suivre pour voir où est ce qu’elle allait se poser. Mohamed Seyni se mit à poursuivre la mosquée qui survolait le village. Il la suivi jusqu’à la baie de Wakam où la mosquée commença à descendre en tanguant comme un papier. La mosquée lui était apparue sous forme de maquette. Lorsqu’il eut fait le tour, il vit écrit sur la porte de droite le mot Allahou Akbar (Allah est grand) écrit en lettre d’or. Mohamed Seyni ne s’est pas empressé de construire la mosquée. Dans les discussions qu’il faisait notamment sur la place où il avait vu la mosquée se poser, il disait: “Cette mosquée devra être construite. Je ne sais pas si j’y assisterai mais si tel est le cas sachez que c’est une obligation pour vous de la construire.”
MONUMENT DE LA RENAISSANCE :
Le Monument de la Renaissance Africaine. « L’homme, la femme et leur enfant feront face au soleil, symbolisant l’ouverture du continent au reste du monde. C’est une force de propulsion et d’attraction dans la grandeur, la stabilité et la pérennité de l’Afrique », explique le président Abdoulaye Wade, initiateur de ce projet panafricain. Inauguré en 2010, les travaux de cette gigantesque œuvre d’art a duré 8 ans. Le Monument de la renaissance africaine du haut de ses 52 mètres est situé dans la commune de Ouakam et est le plus grand d’Afrique.
Impressionnant de par sa stature, il vaut le détour, avis aux sportifs fait en bronze et cuivre à Ouakam, une commune d’arrondissement de Dakar, sur l’une des deux collines volcaniques coniques qui surplombent la capitale sénégalaise, les Mamelles, la plus haute portant déjà le phare des Mamelles.
GOREE :
L’île de Gorée. Vieille de plusieurs siècles, la ville historique de Gorée est un endroit qui vous plonge dans la période coloniale de l’Afrique et de la traite négrière. On y retrouve des vestiges de cette époque tout au long de la petite île. La visite de la maison des esclaves soulèvera inévitable des sensations.
Endroit historique qui rappelle la déportation de nos ancêtres vers l’occident dans des conditions très misérable. Aller en pélerinage sur l’île de Gorée est une étape indispensable pour celui qui se rend au Sénégal afin de ne pas oublier combien le peuple africain a souffert des atrocités d’autres “humains”. La maison des esclaves et le musée retracent bien cette longue et abominable période de l’histoire.
Cathédrale :
La Cathédrale de Dakar. Symbole de la présence chrétienne et du dialogue islamo-chrétien, la Cathédrale. Consacrée par le cardinal Verdier le 2 février 1936 en présence du général Gouraud, cet édifice de trois quarts de siècle puise son originalité de multiples sources : tours de style soudanais, coupoles et terrasses byzantines, cariatides auxquelles des jeunes filles peulhs ont prêté leurs traits. Mais il faut surtout retenir que ce lieu de prière est aussi un hommage à tous les disparus africains de la période coloniale, ayant combattu aux côtés de la France. La Cathédrale est située sur le Boulevard Mamadou Dia, ex-République, menant au palais présidentiel.
Le Musée Théodore Monod :
Le Musée Théodore Monod d’art africain. Souvent appelé musée de Dakar ou encore musée de l’IFAN, cet endroit regorge de véritables trésors historiques. Le musée est consacré aux arts et traditions de l’Afrique de l’Ouest et possède environ 9 000 objets dont environ 300 sont présentés au public de façon permanente. Il est situé à la place Soweto (Assemblée Nationale).
IFAN :
Présentation de l’IFAN
L’Institut fondamental d’Afrique noire (IFAN) est créé en août 1936, par arrêté n° 1945/E du Gouverneur général de l’Afrique occidentale française (AOF), Jules Brevié, et le poste de Secrétaire général fut occupé par Théodore Monod qui prend ses fonctions à Dakar à partir de juillet 1938.
Institut fédéral de recherche, il était implanté à Dakar (capitale de l’AOF) avec des centres locaux dans les différents territoires : Saint-Louis, Abidjan, Bamako, Cotonou, Niamey, Ouagadougou, des centres associés (Douala et Lomé) et des bases (Atar, Diafarbé, Mont-Nimba).
En 1960, l’IFAN a été intégré à l’Université de Dakar. Dès lors, les centres locaux et associés sont devenus autonomes.
En 1966, l’IFAN, tout en gardant son sigle, est devenu Institut fondamental d’Afrique noire.
En 1986, il a pris son nom actuel IFAN Cheikh Anta Diop, après le décès du professeur Cheikh Anta Diop, l’un de ses plus éminents chercheurs.